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 Logan [Sceau du feu]

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Logan
Sceau du feu
Logan


Masculin Nombre de messages : 39
Age : 36
Citation : J'aimerais pouvoir mentir et vous dire que je vous aime
Date d'inscription : 27/02/2006

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Logan [Sceau du feu] Empty
MessageSujet: Logan [Sceau du feu]   Logan [Sceau du feu] EmptyMer 9 Aoû - 14:57

Je commence, mais je n'ai pas encore terminé...Peut-être quelques modifications plus tard, mais bref, l'idée générale est là.

Identité


Prénom: Logan

Surnom: Si vous voulez l’agacer, il n’y a rien de mieux que de l’appeler Lolo. Parfois, Noah s’amuse à l’appeler Log, juste pour l’embêter, mais au plus profond de Logan, il doit s’avouer qu’il aime bien le surnom que Noah lui a attribué. Mais attention ! Ce surnom n’est utilisé que par lui. C’est à vos risques et périls que de le prononcer en sa présence.

Âge: 19 ans (et toutes ses dents !! dsl, ça rimait, j’ai pas pu m’en empêcher. Logan : Tu es stupide. Moua : Logan -_-‘ )

Date de naissance: 2 Novembre (Noradess : mort, désespoir)

Race: Humain (enfin, c’est très loin derrière lui tout ça...)

Rang: Gardien du sceau, mais dans ces temps libre, guerrier.

Physique


Description: Logan est ce qu’on pourrait qualifier de « beauté sauvage ». Rebelle jusqu’à la moelle, Logan porte ses cheveux généralement mi-long et détaché. De longues mèches lui cache constamment le visage, lui donnant un air plutôt solitaire ou comme les femmes diraient , un air secret et sexy (il ne les contredit pas). Il les a teints à l’âge de 10 ans et jamais ils n’ont perdu leur couleur : gris cendre. Gris comme son monde, gris comme son cœur. Mais ne vous faites pas berner par cette couleur, ils sont soyeux et fins comme ceux d’un jeune enfant. En fait, il me semble que ces cheveux ne poussent plus... Ce jeune homme possède un beau visage expressif souvent habité par un sourire moqueur ou encore sarcastique. Ces yeux dorés sont symboles de lumière et de pureté, mais peu à peu, ils se ternissent pour s’agencer avec ces cheveux. Son teint est plutôt pâle, même s’il est de la couleur du chocolat. Pour le sceau du feu, la couleur de sa peau est assez ordinaire. La couleur ressemble étrangement à après un incendie, vous savez, quand tout est mort et qu’il ne reste plus que les cadavres végétaux ou encore mortels, comme si des flammes l’avaient entièrement consumé. Tant qu’au reste de son corps, il est comme un humain « normal ». C’est-à-dire qu’aucune malformation, erreur, monstruosité, déformation n’orne son corps de jeune homme. La jeune créature de 19 ans possède un corps svelte et en bonne santé. De membres longs et forts ainsi qu’une bonne musculature intégrale. Notre cher Logan sait très bien qu’il est séduisant et en profite à tort et à travers.

Emplacement et symbole du pacte:
Logan [Sceau du feu] Miabx0Son tatouage se trouve sur son torse, tout juste voisin de son poumon gauche, en plein sur son cœur. Il trône là, presque moqueur, sur son organe vital, lui empêchant tout mensonge. Le dessin scellé sur sa poitrine a l’apparence d’un espèce d’encrage de roues superposés, peut-être pour rappeler le mécanisme du mensonge ou encore, si nous observons bien, toutes les roues finissent par se toucher un jour ou l’autre, cela pourrait signifier aussi un monde distordu, un monde faux, menteur. À cause de cette « malédiction », Logan ne peut en aucun cas prononcer une information mensongère ou encore dénué de vérité de quelque manière que ce soit. Si une question lui est posée, il doit, même s’il n’est pas en accord, formulé une réponse juste. Toutefois, il peut cacher la vérité en la révélant qu’à moitié, mais jamais il ne pourra articuler une réponse incohérente, contradictoire, fausse ou encore qui ne répond pas à la question demandée. Un peu comme si un détecteur de mensonge était en permanence accroché à sa gorge. La raison de l’emplacement de son tatouage est simple : il l’encourage à écouter la voix de son cœur. Que des conneries dans l’ère dans laquelle vivent les humains mortels.

Psychologique


Description: La noirceur, toujours la noirceur et puis les flammes. Des flammes brûlantes, dévorantes, qui prennent tout et ne redonnent rien. Des flammes qui grugent l’âme jusqu’à son anéantissement total, un brasier tellement ardent que personne ne peut le regarder en face, un feu de sentiments et d’émotions à jamais perdues. Et après, un désert. Un désert noir. Rien qu’un désert noir. Puis, plus rien. Du sable noir, quelques arbres léchés par les flammes et lui. Rien que lui. Lui à au corps de feu et à l’âme rassurante. Pourquoi est-il là ? Pourquoi me fait-il croire ? Je ne veux plus. Je ne veux plus être de ce monde. Je ne veux plus qu’on me voit comme ça. Arrêtez de me regarder ! Je vous ai dit de.. NE PAS ME REGARDER ! Pourquoi persistez-vous à le faire ? POURQUOI ME FAITES-VOUS DU MAL ? Vous voulez...ma mort, n’est-ce-pas ? Non, je ne me laisserai pas aider ni protéger ! Je n’ai besoin de personne et personne n’a besoin de moi ! Je ne veux pas de votre main épineuse, je la veux elle. Et puisque vous ne voulez pas me la donner, je vous détruirai ! Je vous détruirai tous jusqu’à ce que votre souffle soit enfin le dernier. Je détruirai les humains pour avoir voulu exister. Pourquoi votre race persiste-t-elle à vouloir transmette la mort et la tristesse ? J’EN AI ASSEZ ! S’il faut que je donne ma vie pour pouvoir vous détruire, je le ferai sans hésiter. Je n’ai pas peur de la mort, je n’ai pas peur de saigner.

Son souhait le plus cher: « J’aimerais pouvoir mentir et vous dire que je vous aime. »

Prix de son pacte: Le peu de sécurité dans ce monde de mensonge.

Histoire


« Maman ! Maman ! Regarde-moi ! Regarde ! »

C’était l’époque des beaux jours. Des jours innocents. Des jours heureux. Une époque depuis longtemps révolue. Malgré tout le mal qui pouvait subsister, nous vivions à l’abri, comme protégés par notre petite maison seulement faites de pierres. Elle n’avait vraiment rien d’exceptionnelle, c’était plutôt les personnes qui y vivaient qui la rendait exceptionnelle. Il avait elle : ma mère, lui : mon père, la cadette : ma sœur et bien sûr, l’aîné: moi. La famille était donc composée de 4 personnes, de 4 personnes exceptionnelles. Ainsi donc, commence le récit de ma vie. Ma vie si bellement commencée...s’achèvera dans les profondeurs de la terre, entre l’Enfer et le monde humain.

« Maman !! Maman ? Tu me regardes ? »

Elle détourne son regard de sa cuisine pour observer le dessin que je lui tends si fièrement. Et comme à son habitude, elle arbore un visage admiratif.

« Comme il est beau mon chéri !

- J’ai essayé de te dessiner en train de préparer le souper. Tu vois ça ? C’est ton chaudron et ça, c’est Albert le chat. Et ça, c’est Lily. Et tu vois ce rouge ? Ce sont les rideaux ! »

Ces yeux suivaient mon doigt qui lui expliquait le dessin, comme un architecte qui explique son prochain plan de maison ou encore un professeur qui essaie de faire comprendre un schéma très compliqué à un élève. Jamais elle ne s’était fatiguée des crises de ma sœur, de mon caractère possessif avide d’attention, de la personnalité un peu excentrique de mon père. Elle était là, toujours là. Et j’avais l’impression qu’elle le serait pour toujours. Comme j’ai été inconscient.

Un soir, un doux soir de Novembre, juste après mon anniversaire du 2, père était rentré un peu plus tôt qu’à l’habituel. Il était grognon : il ne m’a pas embrassé ce soir-là. Il m’a tout simplement ébouriffé les cheveux comme un inconnu l’aurait fait. Tant qu’à ma mère, il ne l’a même pas regardé. Ma sœur, la petite Lily, était blotti contre moi et observait la scène, silencieuse. Nous étions tous silencieux. Moi et Lily, elle blotti dans mes bras, moi essayant de faire fière allure devant la situation et mère, assise sur une chaise, parfaitement calme et zen. Je me suis demandé un bref instant la raison de ce malaise, mais en fait, je ne voulais même pas en avoir conscience. Elle s’est levée subitement et a adressé la parole à père pour l’informer de la suivre dans leur chambre. Elle s’exécuta sans un mot, mais presque à contrecœur. Elle nous regarda un instant et nous sourit. Un sourire qui n’avait rien de très rassurant, un sourire désolé. Et puis, ils entrèrent tous les deux et nous, nous sortîmes. L’air était chaud pour le mois de Novembre. Notre peau était à certains endroits nue et nous ne ressentions aucun frisson, ni aucun froid. Un temps parfait. La brise était douce, voir même enivrante. Nous étions encore blotti l’un contre l’autre. J’avais 12 ans, elle 10. Même malgré son âge avancé, je n’ai jamais cessé de la protéger contre n’importe qui et n’importe quand. Elle était mon univers et j’étais le sien. Je l’aimais et elle m’aimait. Elle resserra son étreinte sur moi et elle gémit.

« Ni-san...tu penses que maman et papa...

- Ne t’inquiète pas Lily, tout ira bien. Je suis là. »

Et je l’embrassai. Je l’entourai de mes bras et elle se tut. Le calme de la nuit reprit son cours normal et nous étions encore debout devant la porte, enroulés dans les bras de l’autre. Je voulais me faire rassurant pour elle, doux et respectueux. Rien à voir avec ma personnalité. Mais pour elle, je le faisais. Rien que pour elle.

Je crains que nous ne nous soyons endormis à la belle étoile parce que le lendemain matin, elle était encore sur moi. L’air, maintenant devenu très frais, me piquait la peau. J’avais froid, même si son corps me réchauffait. Je me levai sur mes coudes très doucement pour ne pas l’éveiller. Je baillai un coup pour me rafraîchir les paumons et je la levai très doucement. Je la portai jusqu’à son petit lit, dans sa chambre mitoyenne à la mienne. Je lui montai la couverture jusqu’au menton en apercevant qu’elle grelottait. Et juste quand j’allais m’éclipser, elle m’agrippa le bras. Je figeai. Je l’ai réveillée, c’est sûr. Je pivotai tranquillement en ayant peur de croiser ses petits yeux endormis, mais rien. Ses paupières étaient closes. Je pris une grande respiration. Je crus entendre « Ni-san ». Je l’embrassai de nouveau et elle me libéra de son emprise.

Et les jours passèrent doucement. Je n’entendis aucun écho de la discussion entre mère et père, mais je sentis un malaise. Un espèce de regret ou encore du ressentiment vis-à-vis... non, pas l’un envers l’autre, mais plutôt envers nous. Je ressentis de la peine dans le regard de mère et de la mélancolie dans les gestes de père, comme si tout ce qu’ils avaient fait...tout ce qu’ils avaient entrepris, leurs vies, leurs enfants, n’étaient qu’une erreur qu’ils regrettaient. Peut-être ce n’était qu’une impression, peut-être que je me trompais, mais...on me soufflait que j’avais raison. Heureusement que la petite Lily ne voyait rien à tout cela. Et elle ne le saura jamais, car jamais je voudrais lui faire du mal en lui confiant le mien. Je préfère qu’elle reste dans l’ignorance plutôt qu’elle apprenne ce que je ressens et qu’elle en souffre. Mon rôle de grand frère me prend la tête...

Le vrai prénom de ma sœur est Liliane, mais depuis qu’elle sait parler, elle a toujours dit qu’elle s’appelait Lily. Elle ne pouvait pas prononcer son nom correctement...et tout le monde en a pris l’habitude. Peu de personne sait que Lily n’est pas son « vrai » prénom.

Et un jour, ils vinrent. En mars, lorsque la neige commence lentement à fondre et que la nature essaie de prendre l’avantage. Dans cette saison compétitive et renaissante, ils vinrent. Depuis que mère et père avaient eu leur discussion, il a maintenant quelques mois, ils nous avaient formellement interdis de mettre le nez dehors. Ils inventaient des histoires, du genre que le grand méchant loup rôdait dans le coin et ne ferait qu’une bouchée de nous. Lily prenait peur et refusait de sortir. Pour ma part, je n’y croyais pas, mais je ne voulais pas aller dehors sans elle. Alors je me résignai à rester dans la maison. Ils étaient devenu nerveux. Si un bruit retentissait, ils se figeaient tous les deux et observaient pendant plusieurs secondes, avant de reprendre leurs activités en espérant que nous n’aurions rien remarqué. Mais je n’étais pas stupide. Ils vinrent et cognèrent à notre porte. Mère et père figèrent immédiatement et moi aussi. Je ne sais pas pourquoi, mais mon cœur battait la chamade et mon corps était pris d’un terrible tremblement. Je commençais à avoir des sueurs froides et eux ne bougeaient pas. Mère alla cueillir Lily dans ses bras et mon père me blotti contre lui. À nouveau, ils cognèrent, mais là, ils hurlèrent :

« Nous savons que vous êtes là ! Pourquoi ne répondez-vous pas ? »

Un silence. Mère était une artisane et père travaillait dans les champs.

« Chevalier Rose et Émile, vous avez 5 secondes pour nous ouvrir...sinon, nous défoncerons la porte... »

Un autre silence. Rose et Émile...chevalier ? Mère, père...qu’est-ce que... ?

« Ne faites pas les fous, vous saviez très bien ce qu’était votre mission. Vous devez nous le donner maintenant. »

Nous le donner ? Est-ce qu’il parlerait de... ?

« Vous l’aurez cherché. »

La voix donnait des ordres et ça s’activa, derrière la porte. Père resserra son étreinte sur moi et Lily se cacha le visage dans le cou de mère. Elle tremblait.

Qu’est-ce qui se passe ?

La question traversa mon esprit tel un éclair et je n’eus pas le temps de me pencher sur la question que déjà je me penchai par l’avant pour protéger père, qui n’avait d’ailleurs pas besoin de protection vu sa stature, comme pour arborer un geste paternel, fraternel, bref protecteur. Je ne vis pas mère s’activer et me prendre par la main que déjà j’étais entraîné dans la chambre de père et mère. J’avais crié, il me semble. J’avais crié pour ne pas fuir et affronter le danger du haut de mes 12 ans avec la force que j’avais acquise. Mais, mère n’avait pas desserré son étreinte, elle l’avait resserrée. J’étais maintenant dans son armoire avec Lily. Elle gémissait et tremblait comme une feuille. Je sentais son aura frémir sous la peur. Et celle de mère ne disait rien de plus rassurant. Je tentai une réponse :

« Mère ? Que se passe... ?

- Logan...il faut que je te dise... »
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MessageSujet: Re: Logan [Sceau du feu]   Logan [Sceau du feu] EmptyMar 29 Aoû - 19:45

Père n’avait pas bougé. Il avait attendu bravement, courageusement. Il devait savoir ce qui l’attendait. Je n’ai eu que les échos, je n’ai rien vu, mais il me semble qu’elle concorde avec ce qu’il aurait pu arriver. La porte avait cédé au premier coup. Bruit de bois qui cède et qui se brise. Mur de poussière. Puis, une hésitation. Une légère hésitation que père aurait pu utiliser à son avantage. Il a sûrement du y penser. Une fraction de seconde de trop d’hésitation. Mais il n’a toujours pas bougé. Figé comme une statue de marbre. Eux, ils finirent par franchir le cadre de la porte, enfin ce qui en restait. Deux hommes entrèrent d’après les bruits de pas que je pouvais percevoir de la chambre de mère. Le premier s’adressa immédiatement :

« Chevalier Émile, qu’êtes-vous exactement en train de faire ? »

Silence. Un soupir. Sûrement de la part du premier interlocuteur.

« Nous avions pourtant été clair. Vous devez le protéger et veiller sur lui jusqu’à ce que le temps soit venu. Il est venu, ce temps. C’est le temps de nous le donner. Donne-le nous. Donne-nous Logan.

- C’est mon fils. Vous ne partirez pas avec mon fils.

- Émile, le deuxième interlocuteur prit la parole, ce n’est pas ton fils. Il faut que tu te fasses une raison. Tu l’as peut-être élever, mais il n’est pas de ton sang. Tu savais très bien les dangers de cette mission. Il était clair que tu t’attacherais à ce bâtard...Mais quoiqu’il en soit, maintenant tu dois nous le donner. Ne nous oblige pas à user de la force Émile. Je ne veux pas perdre un de mes meilleurs soldats. »

Aucune réponse de la part d’ « Émile ». Une autre hésitation. Le premier sembla s’avancer.

« Dis-nous où il se cache... »

Père ne répondit pas à la requête.

« Tant pis. »

Un étranglement. Brusque, très brusque. Une demi seconde d’exécution, pas plus. Une éclaboussure. Un ruisseau de liquide s’écoule sur le plancher. Un corps s’écroule au sol. Ma mère plaque sa main sur sa bouche. C’est lui. C’est père qui vient...de se faire décapiter. Une larme, une seule, déambule le long de sa joue rosée. Lily tant qu'à elle, commence à pleurer bruyamment risquant de nous faire remarquer. Je m'approche d'elle et j'essaie de la calmer. Mère, elle, ne bouge plus, elle fixe un point, quel point?

« Lily...chut... Lily, stp! »

Mais rien à faire, elle hurle, elle gigote de tous bords, tous côtés. Habituellement, il me suffit de lui frictionner le dos pour qu'elle se calme, mais là, rien à faire, elle devient carément hystérique. Je ne réussis à rien. Et soudain, la porte de l'armoire s'ouvre violemment. Je sursaute un instant. Mère fixe encore le point. Lily se tait un instant. L'homme s'approche de moi et me tend la main.

« Logan...je m'appelle Arthur. Je suis là pour te mener vers ta destinée. Viens avec nous...nous ne te ferons aucun mal, crois-moi.»

Je refuse sa main d'un bref revers. Il sourit.

« N'aie pas peur. »

N'aie pas peur? Un type vient dans ma maison, il tue père et me demande de le suivre calmement?

« ALLEZ VOUS-EN! »



À continuer, plutôt à finir ^^'

Un peu plus


Arme: En plus de ses poings et de sa technique de combat, Logan possède deux magnifiques SIG SAUER P226 Soft Air
Calibre 6mm
Armement manuel par ressort
Coup par coup
Capacité chargeur : 12 billes
Puissance : 0,5 joule maxi
Longueur totale : 20 cm
Poids : 400 g
Finition : bronzé noir
Copie conforme de celle utilisée par les chevaliers. Enfin, certains chevaliers. Son pistolet n’a donc aucune différence avec ceux de l’ennemi, presque aucune. Outre le fait que ces balles puissent s’enflammer en cours de vol ou encore à l’arrivée et outre aussi le fait que ces deux pistolets puissent eux aussi s’enflammer pour arborer deux sabres ... de la mort ne sont sûrement pas de grosses différences. Pour Logan en tout cas.

Pouvoir magique: -Maîtriser le feu (générer des flammes…)
-Connaître tous les désirs des gens
-Voler l’âme des humains (ne signifie pas de les tuer)
*je n’invente rien là, je copie seulement ce que Mao-chan a écrit ^^’ *

Autre: Logan adore les femmes. Surtout celles qui sont particulièrement provocantes et allumeuses. Il aime bien leur faire la cour, mais dès qu’il a atteint son but, soit celui de passer la nuit avec elle, il passe à la suivante sans demander son reste. Il est ce qu’on pourrait qualifier de coureur de jupons, surtout les jupons courts...Il erre de femme en femme en essayant de la retrouver...
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